Quand vous dormez à Paris, la ville est encore levée – il y a toujours des gens qui marchent autour de la ville. Dans notre tour de Paris, nous faisons des choses dans une manière un peu différente, nous entrons dans ces maisons pour voir ce que passe dans les coins qu’on ne voit pas quand on marche dans la rue.
Nous commençons notre journée quand le soleil se lève avant quatre heures du matin. Il n’y a personne dans la rue, comme la ville dort finalement, mais si on entre dans une maison – aucune de ces maisons, ferez votre choix – on voit que la mère est déjà en train de travailler. Le bébé dort maintenant, mais il a commencé à pleurer il y avait une heure, alors la mère s’est levée pour le réconforter et puis elle a commencé son travail pour la journée. Elle doit commencer la vaisselle. Elle la commence quand il n’y a aucune lumière sauf une petite bougie, mais quand le soleil se lève elle peut finalement voir son travail. Ses jointures sont meurtries mais elle continue son travail parce qu’elle doit laver tous les vêtements de la famille pour les sécher avant la prochaine journée.
À quatre heures et demie, quand les premiers ouvriers appariaient dans la rue, nous allons à une autre maison où une femme est retournée du boulanger avec une miche de pain. Elle prépare le petit déjeuner pour son mari qui se lève pour se préparer pour une longue journée à l’usine. Dans quelques minutes, à cinq heures, il va dans la rue et entre la vie de Paris, mais elle reste dans la maison pour faire le ménage, pour cuisiner et s’occuper des enfants, pour travailler tout le temps que son mari est au travail mais elle ne gagne aucun argent, elle ne reçoit aucune recognition pour le travail qu’elle fait.
Mais maintenant les ouvriers partent pour le travail, on entend leurs voix de plus en plus haut sur les rues, et nous marchons dans la rue avec eux pour quelques minutes. Mais ici, quand ils vont à gauche, nous continuons droit pour voir une autre maison. Ici, le mari est aussi parti pour son travail, et nous observons la femme et sa longue journée qui a commencé depuis quelques heures. Maintenant, c’est l’heure où les enfants commencent à se lever. Le bébé dort encore – elle a de la chance aujourd’hui! – mais le fils qui a trois ans est malade aujourd’hui. Elle essaye de le réconforter mais doit aussi prendre soin des autres enfants qui ont deux et cinq ans et veulent l’attention de leur mère.
Et maintenant il est six heures et la ville est vraiment éveillée. Les oiseaux chantent et on entend les gens qui vendent des choses dans la rue – les journaux, les fleurs, les petits jouets. Et nous allons à notre dernière maison pour aujourd’hui où une femme prend soin de quinze enfants. Ce ne sont pas tous ses enfants, bien sûr, mais elle aide les autres mères dans le quartier qui doivent aller au travail ou qui sont trop malades à partir de leurs lits, ceux qui doivent cinq minutes – seulement cinq minutes – pour effectuer leur travail sans les enfants pour les distraire.
Il y a, bien sûr, plusieurs maisons et familles dans ces nombreuses rues et nous ne pouvons pas tout voir. Mais on sait qu’ils sont là et que les mères – les femmes – effectuent le travail dans toutes ces maisons tout au long du journée et ne sont pas remerciés pour leur travail. Nous avons commencé notre journée assez tard, avec le soleil, mais si nous étions plus tôt, nous verrions les mères qui réconfortent leurs bébés tout au long du nuit quand leurs maris dormaient, les mères qui ne dormaient pas parce qu’elles pensent de tout qu’elles doivent faire pour aider leurs familles le prochain jour. Ces femmes sont dans chaque maison mais elles ne sont pas reconnues pour tout ce qu’elles font pour leurs familles, tout au long de la journée et pendant toute la nuit, partout à Paris.