Anaïs d’Avignon: La lutte pour le reportage

Comme beaucoup d’entre vous le savent, il y a eu un grand débat récemment entre Millaud et Giffard. Je pense que c’est un debat un peu stupide, et il faut que nous concentrons sur des choses plus importantes. “L’information pour tous- c’est une mauvaise idée?” Quelle honte! Non, je suis d’accord avec Giffard. Mais, pas pour toutes les mêmes raisons. Millaud pense que le journalisme avait remplacé la littérature, et aujourd’hui, le reportage remplace le journalisme. Premièrement, je veux poser la question à Millaud:  qui vous empêche d’être journaliste ou d’écrire un livre? Personne! Il pense que la raison de ce changement est que les gens veulent de l’argent avant tout, et que les reportages ont de l’argent. Peut-être c’est vrai, mais si on est une journaliste qui est très réussie, ils ne vont pas changer et écrire seulement les reports!  Giffard dit même que le journalisme s’améliorera parce qu’il recrutera des personnes plus avancées dans la profession. Il explique aussi que Millaud a visité New York récemment, et il parle des reportages américains, pas français! 

Une journaliste dans La Nation explique les raisons pour lesquelles elle est d’accord avec Giffard. Il demande, premièrement: pourquoi est-ce qu’on pense que c’est mauvais pour un reportage de gagner de l’argent? Il explique que tout le monde a le droit d’avoir de l’argent et que ce n’est pas une mauvaise chose de rechercher cet objectif. Je suis d’accord avec cela! Si les journalistes peuvent gagner beaucoup d’argent en étant reporté, pourquoi c’est mauvais? Il soutient aussi que c’est le public, pas les reportages, qui veut l’information. Le public veut tout l’information, le plus rapidement possible. C’est la culture d’aujourd’hui. Le travail des reportages est trop difficile, et la faute (pour les concernés de Millaud) n’en revient donc pas au journalisme, mais au public.

Cela m’amène à ma prochaine idée ! Le public est la raison pour laquelle je soutiens les reportages. Avant les reportages qui sont vite et informatifs, l’information est révélée dans les petits groupes d’ hommes. Ils ont fait des projets concernant le gouvernement, l’économie et la vie des autres sans consulter les autres. Mais, aujourd’hui, tout le monde peut recevoir l’information en même temps. Cela inclut les femmes. Aujourd’hui, les femmes peuvent recevoir des informations exactes et correctes qui peuvent les aider à prendre des décisions sociales et politiques. Par exemple, si de nouvelles informations sur une banque apparaissent, peuvent prendre des décisions financières sur cette base. Le première étage de l’autonomie pour les femmes et les minorités est l’information qui peut être utilisée pour changer leur état financier ou social. Les hommes comme Millaud ne veulent pas que les femmes commencent les “meilleures vies”, parce qu’il sait que si les femmes peuvent travailler, elles ne peuvent pas être biaisées (émotionnelles, physiques, etc.) Donc, il veut l’information et les nouvelles dans les mains des hommes riches et puissants, comme toujours. Mais, ses excuses sont que cela détruit “les vieux jours”. 

Aussi, si beaucoup de personnes ont l’accès de l’information des reportages, tout le monde peut donner son avis! Millaud n’aime pas cela.  Si tout le monde donne leur opinion, c’est possible que les lois et les normes de société changent. Les arguments comme celui de Millaud visent à tenir les femmes à l’écart des événements et de l’actualité mondiale importants. 

Les arguments de Giffard sont agréables et même parfois féministes. Il dit qu’il y a un lien entre les reportages et le suffrage universel masculin. Je pense que c’est vrai. Comme je vais expliquer, l’information rapide cause les gens à former des opinions plus développées, ce qui aurait pu conduire au suffrage. Si cela continue, peut-être qu’un jour, le suffrage universel s’appliquera également aux femmes. C’est le véritable suffrage universel.

En résumé, je pense que plus d’informations entre les mains d’un plus grand nombre de personnes ne peuvent pas être une chose négative pour notre société. Ceux qui ne sont pas d’accord avec moi (Et Giffard) veulent que le monde soit dominé par de vieux hommes riches et blancs.