J’ai trouvé une chronique sur la responsabilité de la presse et le but d’un roman-feuilleton dans un journal. C’était publié par le Paris-roman sur le 13 mai 1886. Ce personne pense que la presse peut donne des lecteurs une fenêtre sur la politique, l’art, les sciences, la littérature, et ma chroniqueuse, Manon Mystère, serait en d’accord avec cette position parce qu’elle croit que des journaux sont des portes ouvertes sur la connaissance.