Atelier 4, Sophie Hauck

J’ai trouvé une chronique sur la responsabilité de la presse et le but d’un roman-feuilleton dans un journal. C’était publié par le Paris-roman sur le 13 mai 1886. Ce personne pense que la presse peut donne des lecteurs une fenêtre sur la politique, l’art, les sciences, la littérature, et ma chroniqueuse, Manon Mystère, serait en d’accord avec cette position parce qu’elle croit que des journaux sont des portes ouvertes sur la connaissance.

Paris-roman, 13 mai 1886

Atelier V: Josie et Hannah

Le journal: Le Figaro. Titre de la rubrique: Échos de Paris – La Politique. Le pseudonyme qui signe: F.M.

Un autre pseudonyme: le masque de fer.

Nos impressions: on parle beaucoup de gens de politique (la ministre de la justice, l’académie française, l’ambassadeur). Aussi on parle des mariages, mais toujours entre les gens ‘importants’ ou célèbre (un prince par exemple). On parle d’une grève, les prix — les personnes qui gagnent les prix.

Nos Échos, Le Gaulois

Sophie et Miriam

Voici deux extraits des échos dans Le Gaulois, le 2 janvier 1884 et le 3 janvier 1884. Les échos sont trouvés sur la première page en bas sous le titre, Nos Échos, et le pseudonyme d’auteur est Un Domino. Les échos comprisent des bourses, des expositions du théâtre, des événements dans l’eglise catholique, une lettre d’un abonné, un musée rouvert, et des déesses et des maladies des personnes célèbres. Le ton de cette rubrique est très détendu.

“Échos de Paris” par Le Masque de Fer. Jan 3, 1884.

Oliva, Annika, Mary-Virginia.

Ces échos décrivent des histoires/événements divers, y compris une dispute familiale, mais aussi des histoires plus importantes impliquant la politique et des personnages importants. Certains exemples sont plus petits, d’autres plus détaillés. Il y est question de météo, de politique et de discours divers. 

Cet écho parle d’un chronique de Guy de Maupassant, titré “Au Soleil”, qui traite de la domination et de la colonisation françaises en Annam. Il y est question de l’établissement d’un protectorat pacifique dans une région où la population se défend plus. 

Critique du reportage dans La Patrie

Voici une critique positive de l’article de Millaud dans La Patrie, un journal nationalist. Cet article est publié le 7 mai 1886. L’auteur résume l’argument de Millaud, et il est d’accord avec l’idée que le reportage tuera le journalisme. Il ajoute un paragraphe puissant:

Il y a une foule d’imbéciles que le fait de voir le public mis au courant de leurs faits et gestes, met en liesse. Leur vanité ne pouvait échapper aux reporters qui s’en font de la copie ! Chose fort naturelle! Ce qui nous étonne, c’est qu’il se trouve des gens pour lire tout ce fatras, pour s’égayer de tous ces potins, pour consacrer une minute de leur vie, pourtant si courte, à ces inepties.

La Patrie, 1886

La Patrie, 7 mai 1886

Cet article se trouve à la une de La Patrie dans la rubrique « Le Fait du jour » et est à peu près une colonne en longueur. C’est une intervention dans le débat qui prend la position de Millaud, mais ajoute aussi une autre dimension en discutant de la manière dont la presse est gérée en Angleterre. L’auteur constate que la presse française devrait être plus comme la presse anglaise, qui n’est pas potinière et qui résiste à l’expansion du genre de reportage.

Ma chroniqueuse, Anne Colaire, prend plutôt la position de Giffard car le reportage convient à son but de représenter la vie des gens populaires. De plus elle est anti-élitiste.

Atelier IV

Le texte discute le débat autour du journalisme de reportage, en particulier entre Albert Millaud et Pierre Giffard. Millaud critique le reportage, affirmant qu’il fait du mal à la presse, tandis que Giffard le défend, arguant que les reporters font souvent des efforts et du courage intellectuel en train de couvrir des sujets directement sur le terrain. Cependant, Millaud et Giffard sont tous deux considérés comme des journalistes. L’auteur est d’accord avec Millaud sur les aspects négatifs des interviews, qu’il considère comme une imitation superficielle des pratiques américaines et qui n’apporte que de valeur. L’auteur croit que les interviews sont banales et pense que même la politesse manifestée entre des personnes interrogées rend le processus insignifiant.

L’auteur est critique à l’égard des interviews, qu’il considère comme une forme médiocre de journalisme qu’offre peu de contenu significatif au public. L’auteur ne prend pas explicitement position sur le reportage en général, bien que l’accent mis sur sa catégorisation et sa critique suggère une certaine ambivalence.