Atelier 4, Sophie Hauck

J’ai trouvé une chronique sur la responsabilité de la presse et le but d’un roman-feuilleton dans un journal. C’était publié par le Paris-roman sur le 13 mai 1886. Ce personne pense que la presse peut donne des lecteurs une fenêtre sur la politique, l’art, les sciences, la littérature, et ma chroniqueuse, Manon Mystère, serait en d’accord avec cette position parce qu’elle croit que des journaux sont des portes ouvertes sur la connaissance.

Paris-roman, 13 mai 1886

Critique du reportage dans La Patrie

Voici une critique positive de l’article de Millaud dans La Patrie, un journal nationalist. Cet article est publié le 7 mai 1886. L’auteur résume l’argument de Millaud, et il est d’accord avec l’idée que le reportage tuera le journalisme. Il ajoute un paragraphe puissant:

Il y a une foule d’imbéciles que le fait de voir le public mis au courant de leurs faits et gestes, met en liesse. Leur vanité ne pouvait échapper aux reporters qui s’en font de la copie ! Chose fort naturelle! Ce qui nous étonne, c’est qu’il se trouve des gens pour lire tout ce fatras, pour s’égayer de tous ces potins, pour consacrer une minute de leur vie, pourtant si courte, à ces inepties.

La Patrie, 1886

La Patrie, 7 mai 1886

Cet article se trouve à la une de La Patrie dans la rubrique « Le Fait du jour » et est à peu près une colonne en longueur. C’est une intervention dans le débat qui prend la position de Millaud, mais ajoute aussi une autre dimension en discutant de la manière dont la presse est gérée en Angleterre. L’auteur constate que la presse française devrait être plus comme la presse anglaise, qui n’est pas potinière et qui résiste à l’expansion du genre de reportage.

Ma chroniqueuse, Anne Colaire, prend plutôt la position de Giffard car le reportage convient à son but de représenter la vie des gens populaires. De plus elle est anti-élitiste.

Atelier IV

Le texte discute le débat autour du journalisme de reportage, en particulier entre Albert Millaud et Pierre Giffard. Millaud critique le reportage, affirmant qu’il fait du mal à la presse, tandis que Giffard le défend, arguant que les reporters font souvent des efforts et du courage intellectuel en train de couvrir des sujets directement sur le terrain. Cependant, Millaud et Giffard sont tous deux considérés comme des journalistes. L’auteur est d’accord avec Millaud sur les aspects négatifs des interviews, qu’il considère comme une imitation superficielle des pratiques américaines et qui n’apporte que de valeur. L’auteur croit que les interviews sont banales et pense que même la politesse manifestée entre des personnes interrogées rend le processus insignifiant.

L’auteur est critique à l’égard des interviews, qu’il considère comme une forme médiocre de journalisme qu’offre peu de contenu significatif au public. L’auteur ne prend pas explicitement position sur le reportage en général, bien que l’accent mis sur sa catégorisation et sa critique suggère une certaine ambivalence.

Atelier IV

Cette article est dans le première page de Le Gaulois, le 11 Mai 1886. Il s’agit d’un article plus long qui utilise plusieurs colonnes. l’auteur défend l’idée que le reportage est révolutionnaire et qu’il s’agit d’une bonne chose. Il dit que le reportage “a opéré une révolution comparable à l’influence exercée par l’école du plein air dans la peinture.” Il dit que “le reportage a implanté l’amour et l’étude des réalités dans le journalisme.”

L’Univers, 23 Mai 1886

Cette article (sans titre) par PH. Serret, discuté comment “le reportage à tuer le journal.” Il était publié a la premiere page du journal.  L’article discute la role de Albert Millaud spécifiquement dans cette débat et le “peu glorieuse évolution” de la presse. Il y a un peu moins d’information sur le perspective de Giffard. 

Atelier 4 – Lof

Cet article est une réponse a Millaud par un autre journaliste. Il parle beaucoup de ces problèmes personnelles avec Millaud mais il discute aussi comment les affaires personnelles apparaissent dans les journals, qui est lié avec les points de Millaud à propos le reportage.

La Nation- 10 mai 1886

Cette critique vient de La Nation, et elle est en première page, avec deux colonnes. L’auteur passe en revue le débat et y ajoute des éléments. Il explique qu’il est difficile d’être “un reporter”, parce que c’est un journaliste qui doit informer le public “exactement et rapidement”. Il dit que les critiques selon lesquelles les journalistes sont « partout » sont un peu vraies, mais pas vraiment, parce que le problème, c’est le public qui veut tout savoir.

Le Constitutionnel – Mai 9, 1886

Trouvé dans un journal intitulé “Le Constitutionnel” publié le 9 mai 1886. La mention du débat se trouve à la page 2 dans une rubrique intitulée “Journaux et Revues”. La rubrique semble résumer les travaux d’autres revues. La mention du débat Millaud et Giffard ici est un bref résumé en 2 paragraphes du débat.

Ma chroniqueuse vise à provoquer la réflexion et la conversation d’une autre perspective (une femme sur un pseudonyme), pas nécessairement de manière offensive. Mais peut-être dans une manière passive et plus subjective d’objectif. Elle va s’adresser à la presse généralement, les auteurs dans le débat, et peut-être les perspectives des femmes sur les journaux et qui lit les journaux.