Atelier IV

Cette article est dans le première page de Le Gaulois, le 11 Mai 1886. Il s’agit d’un article plus long qui utilise plusieurs colonnes. l’auteur défend l’idée que le reportage est révolutionnaire et qu’il s’agit d’une bonne chose. Il dit que le reportage “a opéré une révolution comparable à l’influence exercée par l’école du plein air dans la peinture.” Il dit que “le reportage a implanté l’amour et l’étude des réalités dans le journalisme.”

L’Univers, 23 Mai 1886

Cette article (sans titre) par PH. Serret, discuté comment “le reportage à tuer le journal.” Il était publié a la premiere page du journal.  L’article discute la role de Albert Millaud spécifiquement dans cette débat et le “peu glorieuse évolution” de la presse. Il y a un peu moins d’information sur le perspective de Giffard. 

Atelier 4 – Lof

Cet article est une réponse a Millaud par un autre journaliste. Il parle beaucoup de ces problèmes personnelles avec Millaud mais il discute aussi comment les affaires personnelles apparaissent dans les journals, qui est lié avec les points de Millaud à propos le reportage.

La Nation- 10 mai 1886

Cette critique vient de La Nation, et elle est en première page, avec deux colonnes. L’auteur passe en revue le débat et y ajoute des éléments. Il explique qu’il est difficile d’être “un reporter”, parce que c’est un journaliste qui doit informer le public “exactement et rapidement”. Il dit que les critiques selon lesquelles les journalistes sont « partout » sont un peu vraies, mais pas vraiment, parce que le problème, c’est le public qui veut tout savoir.

Le Constitutionnel – Mai 9, 1886

Trouvé dans un journal intitulé “Le Constitutionnel” publié le 9 mai 1886. La mention du débat se trouve à la page 2 dans une rubrique intitulée “Journaux et Revues”. La rubrique semble résumer les travaux d’autres revues. La mention du débat Millaud et Giffard ici est un bref résumé en 2 paragraphes du débat.

Ma chroniqueuse vise à provoquer la réflexion et la conversation d’une autre perspective (une femme sur un pseudonyme), pas nécessairement de manière offensive. Mais peut-être dans une manière passive et plus subjective d’objectif. Elle va s’adresser à la presse généralement, les auteurs dans le débat, et peut-être les perspectives des femmes sur les journaux et qui lit les journaux.