Dans le nouveau roman Bel-Ami par Guy de Maupassant, le personnage principal, Georges Duroy, commence comme un pauvre homme et à la fin devient un des plus riches hommes à Paris. Sa montée dans la société est facilitée par des femmes qui l’aident et qu’il dispose de quand il monte avec leur aide et ne les besoins plus.
Plusieurs critiques n’aiment pas ce roman. Les critiques dans Le Gaulois et Le Matin, parmi d’autres, disent que Bel-Ami est un roman trop pessimiste et une mauvaise représentation du journalisme parce que le roman le peint comme un métier avec rien que la corruption. Bien sûr, le journalisme n’est pas aussi sombre que Maupassant suggère, mais l’exagération est le point d’un roman – personne ne veut lire un descriptif factuel de l’industrie. Comme journaliste, je peux dire que le journalisme n’est pas aussi corrompu que Duroy, mais cela n’est pas un métier plus noble qu’aucun autre travail. On peut voir les aspects du roman, bien sûr moins exagérés, dans mon métier.
Je trouve aussi que ce roman est une image très puissante et très réaliste des hommes avec le pouvoir et des femmes qu’ils ont utilisé pour obtenir ce pouvoir. Les critiques de ce roman ont raison quand ils disent que pas chaque homme, et pas chaque journaliste, manipule les femmes et la société pour obtenir leur pouvoir. Mais il y en a assez pour les femmes de se reconnaître dans le récit, pour voir dans le personnage de Duroy des hommes qui les ont trompés et trahis à cause de la pensée masculin que les hommes ont le droit d’avoir tous qu’ils veulent.
Duroy commence le récit comme un homme pauvre, mais même à ce moment il veut conquérir Paris (47-48). Il est un homme ordinaire avec rien de spécial sauf l’audace. Ce rêve de pouvoir pour aucune raison sauf l’avoir est assez commun parmi les hommes Parisiens. Ils ont, à cause de leur sexe et leur socialisation masculin, l’idée qu’ils méritent une vie spéciale. Cette idée n’est pas extraordinaire, mais ce que Duroy fait pour obtenir ce pouvoir est plus choquant.
Son sentiment de droit à tout ce qu’il veut est le plus visible avec la famille Walter. Quand il force Madame Walter à coucher avec lui, il utilise sa force physique pour la dominer. Il dit qu’il la respecte (282), mais il montre qu’il ne la voit pas comme une personne avec les choix concernant son corps. Cette scène est peut-être choquante pour quelques lecteurs, mais comme femme, je comprends comment l’audace masculin convainc des hommes qu’ils méritent aucune femme qu’ils veulent sans avoir le respect pour eux. Duroy voit les femmes comme des personnages dans sa vie, pas comme des êtres humaines.
Plus tard dans le roman, Duroy décide qu’il ne veut plus de Madame Walter, même quand elle s’intéresse à lui (327). Il a couché avec elle par force et puis il a le jeté. Cela montre la continuation de son égoïsme – il pense seulement à lui-même et ce que d’autres peuvent faire pour lui. Son besoin pour le pouvoir à lui transformé à un psychopathe qui ne se concerne pas avec les sentiments d’autres.
Le caractère de Duroy est si odieux que le lecteur a peur quand il séduit et kidnappe la fille de Madame Walter, Suzanne, pour obtenir son statut et argent avec le mariage (356). L’idée de kidnapper l’enfant de son patron et de sa maîtresse est audacieux, mais l’idée que Duroy a le droit de marier une des femmes les plus riches en France est une extension de l’avis que les hommes méritent des bonnes choses seulement parce qu’ils sont les hommes à Paris.
Les attitudes de Duroy envers les femmes et le travail ne sont pas surprenants pour les femmes parce que nous voyons ces attitudes parmi des hommes ordinaires, bien sûr à un niveau plus bas. Les hommes pensent qu’ils ont le droit aux femmes qu’ils veulent, aux travaux qu’ils veulent, seulement parce qu’ils existent. Ils voient le monde comme leur cour de récréation, où tout existe pour leur plaire. En exagérant les caractéristiques masculines, Maupassant montre leur avarice et leur stupidité – on peut seulement voir ces caractéristiques quand on est assez loin de quelqu’un pour ne pas voir lui-même dans eux.