Cet article se trouve à la une de La Patrie dans la rubrique « Le Fait du jour » et est à peu près une colonne en longueur. C’est une intervention dans le débat qui prend la position de Millaud, mais ajoute aussi une autre dimension en discutant de la manière dont la presse est gérée en Angleterre. L’auteur constate que la presse française devrait être plus comme la presse anglaise, qui n’est pas potinière et qui résiste à l’expansion du genre de reportage.
Ma chroniqueuse, Anne Colaire, prend plutôt la position de Giffard car le reportage convient à son but de représenter la vie des gens populaires. De plus elle est anti-élitiste.