Les faits-divers représentent une nouvelle ère de journaux dans les années 1800. Une époque où l’information était plus accessible au citoyen moyen et où les nouvelles du quartier pouvaient être trouvées dans les pages. L’auteur a utilisé la tragédie, la violence et l’oppression comme les spectacles et a parlé des incidents sans sensibilité. Ils n’ont pas beaucoup d’empathie pour les victimes et mettent des informations personnelles sur les personnes décédées dans leurs descriptions. Cela manque de considération est présent spécifiquement quand les auteurs décrivent les victimes femelles. Le danger est que les faits-divers sont le seul véritable moyen pour les lecteurs d’obtenir des informations sur leur communauté. La langue des articles est importante parce qu’elle influence le point de vue des lecteurs. Cette étude analyse les decrivants de la violence domestique, les incidents tragiques, et la suicide.
La langage qui est utilisé pour décrire les accidents dans L’Écho de Paris est différent quand comparé aux incidents violents qui sont perpétrés. Les descriptions d’événements où l’accident a été causé par les actions des victimes, le langage est plus objectif. Le texte dit souvent exactement ce qui se passe, avec peu de dramatisation dans la description.
Il n’y a pas d’empathie dans cette description. L’auteur a listé trois accidents dans cet article, un après l’autre. La langage n’a pas un peu d’empathie, est focussé seulement sur les événements. Il ne mentionne pas les familles des victimes, ou comment vont les familles et les victimes maintenant. Aussi, il inclut la façon dont les accidents passent, ce qui implique que ce sont les fautes des victimes. Il décrit la petite fille qui “en jouant avec des allumettes”. Elle est brûlée à cause de ses actions, c’est le message. Les incidents qui sont à cause des actions du victime sont décrits d’une façon plus objective. Il n’y a aucun respect pour la vie privée ou la dignité des familles des victimes.
Cependant, si quelqu’un est victime de quelque chose qui a été fait par quelqu’un d’autre, il y a beaucoup plus de sympathie et de réaction. La description est souvent moins objective, et le langage exprime le grief. Cet extrait utilise les mots « malheureusement », et dit qu’on «déplore » la mort. Puisqu’il s’agit d’un incendie et qu’il n’y a aucune raison de blâmer la victime, le langage est différent. L’auteur peut supposer que l’incendie a été provoqué par quelqu’un d’autre, ou naturellement. Une similarité entre cet extrait, et les deux extraits avant, est qu’il existe beaucoup de détails. Mais, les détails de l’incendie ne concernent pas la manière dont l’incendie s’est commencé.
Ces descriptions sont importantes parce qu’elles montrent comment les faits-divers ont évalué la tragédie et comment cela a affecté les lecteurs. Ces descriptions rendent les victimes de la tragédie responsables , avec peu d’empathie. Cela aurait pu translater au public, qui n’avait pas d’autre accès aux nouvelles et à l’information.
Comment le suicide fait-il partie de cette dichotomie? Dans L’Echo de Paris, le suicide est décrit de la même manière que les premiers accidents. Ces descriptions sont très objectivement, et sans beaucoup de langage empathique.
Dans cette extrait, premièrement, ils donnent le lieu et les événements du suicide, sans expression de tristesse. Donner l’emplacement du corps est une violation de la vie privée, est aussi est très formel pour une question émotionnelle. La phrase la plus troublante était la mention de ses intestins. Dire « Les intestins ont été placés dans les bocaux » est dégoûtant et donne du dégoût au lecteur, ce qui se traduit par du dégoût pour la fille et la suicide. Cela viole également fortement sa vie privée. Le but, on pourrait dire, en donnant ces détails qui violent sa vie privée, est de la déshumaniser. Il s’agit de faire croire au lecteur qu’elle ne mérite pas qu’on lui accorde de la dignité. Cela a pour effet d’aliéner les personnes atteintes d’une maladie mentale.
Ce deuxième extrait, qui ne viole pas la victime de la même façon que le premier, est aussi insensible. Le langage qui est utilisé dans la première phrase n’implique pas une tragédie, mais simplement une histoire qui est liée à une histoire de la semaine précédente. Aussi, il est insensible de décrire comment il s’est suicidé, et d’une manière objective. Il n’utilise pas le mot “tragédie” ou “atrocité”. Le seul langage triste est « ce malheureux ». Cette phrase implique que le garçon lui-même est malheureux, et pas que la suicide est malheureuse. La façon dont il décrit le suicide avec le langage montre qu’il y a peu d’empathie et reflète la force de la personne, et pas la force des sentiments qui a causée la suicide. Cette description, comme la première, a pour effet d’aliéner le lecteur aux personnes atteintes de maladie mentale. Quand les nouvelles et les faits-divers étaient les seuls moyens d’information, les lecteurs fondent une grande partie de leur opinion sur ce qu’ils lisaient. Il n’avait pas vraiment d’autre choix. S’ils n’avaient pas dans leur entourage quelqu’un qui luttait contre la maladie mentale ou qui avait des idées de suicide, ils utilisaient le langage des faits-divers pour faire leurs conclusions. C’est l’importance des faits-divers.
Mais, c’est intéressant que dans ces textes et descriptions, il n’y a pas de dramatisation. C’est différent comparé aux incidents violents. Il n’y a pas de point d’exclamation, et l’auteur utilise le mot “accident”. Il n’utilise pas les mots “tragédie” “atroce”, etc. Aussi, il n’inclut pas beaucoup de détails. Dans les descriptions des incidents violents domestiques, l’auteur est plus dramatique, et il donne beaucoup de détails au lecteur. Les représentations de la violence domestique dans les faits-divers sont problématiques. Dans de nombreux récits, l’auteur s’est fortement concentré sur la « jalousie » comme motif de violence contre les femmes. De plus, dans certains articles, il décrivait en détail les raisons pour lesquelles l’homme était violent, sans mentionner l’impact sur la femme. Ces articles sont plus dramatiques, et utilisent les mots qui attirent l’attention du lecteur. Aussi, on peut conclure que beaucoup d’ articles donnent les raisons de la violence, et ainsi essaient de justifier les actions des hommes qui sont violents envers les femmes.
Un événement dans l’Echo de Paris du 5 janvier est important pour étudier. Il illustre la violence entre une femme et son mari, qui suivre des problems dans leur marriage. La femme de cette histoire est tirée après que son mari qui a “tire deux coups de revolver sur la femme”. Cela s’est passé après beaucoup de signes de violence domestique. Malgré la gravité de la situation, l’article commence avec le terme “un drame conjugal”, et un description de la violence intense. On pourrait penser qu’un drame conjugal n’inclut pas les issues d’abuser, ou, comme dans cette histoire, une tentative de meurte. Le mot “drame” implique que quelque chose est insignifiant, ou enfantin. Cette phrase normalise la violence domestique parce qu’elle implique que l’abuse de cette femme est juste une autre “drame”. La normalisation de la violence contre les femmes peut causer une situation où les criminels ne sont pas poursuivis aussi fréquemment pour violences contre les femmes. Mais, cette introduction est même plus inquiétante quand on considère l’histoire qui le suit. Cette vision effet de la violence a également un impact sur l’opinion des lecteurs à l’égard de la violence domestique. Comme indiqué précédemment, cette vision est due au fait que les gens ont accès à des faits-divers, et non à des situations réelles.
Le reste de l’article exprime certes le drame de la situation, mais ne condamne pas les agissements du mari. Cependant, il est dit qu’il s’agissait d’un acte de « jalousie ». L’article dit que la femme l’avait admis. Bien que cet article exprime de l’empathie pour la situation en général, il ne parle pas de la femme comme la première victime de la situation. Par exemple, l’article ne dit pas que le mari avait essayé de la tuer, mais dit seulement qu’il a tiré avec un revolver. Ce style objectif s’éloigne le mari de la crime. Mais, en même temps, l’auteur utilise les mots comme “drame” pour attirer l’attention du lecteur. Donc, les descriptions de la violence domestique sont dramatiques, mais quand il décrit les crimes du mari, c’est plus objectif, ce qui distance et normalise les crimes.
Donc, quelle est la solution à ce sensationnalisme et à ce manque d’empathie dans les faits-divers? À cette époque, l’information était peu variée. Si quelqu’un voulait en savoir plus sur sa communauté, il faut qu’on lit les faits-Divers. La Rue, écrite par Jules Vallées, donne une solution intéressante au problème.
Il écrit sur les rues et sur “qui fait quoi”, mais il parle des luttes quotidiennes et n’utilise pas sa chronique comme une moyen pour des ragots. Il dit des écrivants des articles de cette époque “A peine connaissent-il leur nom pendant leur vie”. Il critique le fait qu’il y a une déconnexion entre le lecteur et le sujet de l’histoire dans les faits-divers. Ses articles ne semblent pas très différents de ceux qui existent, mais il souhaite les approfondir et raconter l’histoire de ceux qui font partie des faits-divers. Cela ajoute plus d’empathie et raconte la véritable histoire des malheurs de ceux qui se trouvent dans les faits-divers. C’est une bonne chose, parce que cela permet aux lecteurs d’avoir une autre perspective. Dans le cas des suicides, il pourrait aller voir la famille de la victime et montrer l’impact du suicide sur les gens. Les lecteurs ont ainsi une autre histoire, plutôt que la seule histoire racontée. Dans les cases de la violences domestiques contre les femmes, il peut parler avec la femme, et donne la lecteur une autre histoire de la victime. La problème des faits-divers, c’est qu’ il manque d’empathie et raconte une seule histoire. La Rue s’attaque à ce problème, mais donne aux gens l’information sur leur communauté.
Le grand problème des faits-divers est qu’ils racontent une seule histoire, et la façon dont l’auteur raconte une idée, comme le suicide, la violence domestique ou la tragédie, est la seule perspective que les lecteurs reçoivent. Et si ces descriptions manquent d’empathie, c’est ainsi que les lecteurs perçoivent les problèmes de leur communauté.